Témoignages

L’expérience du groupe est difficile car elle nous confronte à nos peurs. Moi, j’avais peur de découvrir mon propre pouvoir. J’ai failli abandonner la formation à plusieurs reprises. Je suis resté, et rien que de le mentionner, j’ai les larmes aux yeux de gratitude. J’ai vraiment l’impression que c’est à ce moment-là que j’ai quitté l’enfance et que je suis devenu un homme. C’est ce même processus que j’espère pouvoir accompagner chez mes futurs clients.
Alexandre (46 ans, pharmacien en reconversion)

J’ai découvert quelque chose d’inouï. J’ai vraiment compris dans ma chair ce qui peut paraître une évidence : ce qui est vrai pour moi ne l’est pas forcément pour l’autre. J’ai compris alors ce qu’était la compréhension empathique.
Jacques (38 ans, éducateur) 

Un jour, je crois que c’était au cours de la deuxième année, j’ai soudain compris que ce que je vivais dans le groupe se jouait aussi dans ma vie. Un microcosme qui m’a permis de voir comment je traverse l’existence.
Carole (34 ans, cadre dans une compagnie d’assurance)

Ce que j’ai appris lors du premier cycle ? Le climat de confiance, de respect et d’écoute qui s’est instauré progressivement dans le groupe m’a permis de m’approcher de moi-même. Et plus j’ai été en contact avec mes vrais besoins, moins j’ai eu besoin du regard de l’autre pour savoir qui je suis et où est ma place.
Laurence (42 ans, employée dans la fonction territoriale)

Témoignages ACP-France

Je m’ennuyais à la fac de psycho. Ici, mon groupe de formation est devenu pour moi un laboratoire de l’âme. J’ai vraiment expérimenté ce que signifie créer une relation saine, de personne à personne, une relation thérapeutique.
Mélodie, 25 ans (en cours de formation après un master en psychologie) 

Ce que j’ai découvert dans le groupe de rencontre, c’est d’abord et avant tout une immense confiance dans le processus d’autorégulation de la personne. Et ça, ça m’aide tous les jours avec mes clients parce que je peux faire confiance dans leur processus de croissance.
Paul (56 ans, sophrologue, thérapeute ACP)

À chaque fin de séminaire, j’ai la sensation d’avoir vécu un vrai moment d’humanité, où la parole vraie existe, résonne en moi durant des jours.
Jean-Pierre (39 ans, infirmier psychiatrique).

J’ai pris conscience, au cours de la dernière année, que si le monde va mal, et si les personnes sont en souffrance, c’est parce que les individus ne sont pas en contact avec leur moi profond.
Sylvie, 44 ans (en cours de certification)